Sunday, 17 May 2020 / Published in Questions

C’est “l’autre” type de Kabbalah, ou des noms ou combinaisons de noms d’anges sont employés avec des signes ou incantations particulières, parfois écrits sur du parchemin, pour invoquer certaines puissances et pour changer l’état normal des choses.

En écrivant ces noms d’anges avec différentes permutations des lettres, nous pouvons influencer ces forces à accomplir notre volonté.

Cela peut-être très dangereux sans une bonne connaissance et contrôle de ces forces.

Sunday, 17 May 2020 / Published in Questions

Ce décret fut annulé il y a environ 450 ans, tel que confirmé et écrit par le Rav Avraham Azulay : « Ce qui avait été décrété d’en haut ; de ne pas étudier la Kabbalah ouvertement, n’était que pour un temps limité, jusqu’à la fin de l’année 5260. De là et après, elle a été permise, et à partir de l’année 5300 il a été décrété que c’est une             « Mitsva»  (commandement) que vieux et jeunes devraient l’étudier.  (Ou ha’ Hamah, introduction)

En outre, deux des plus importants Kabbalistes de tout les temps ; le Ari Z’ al et le Ram’hal commencèrent très jeune, puisque les deux décédèrent avant l’âge de quarante ans.

Sunday, 17 May 2020 / Published in Questions

Toutes les autorités rabbiniques ont toujours convenues sur l’ultime importance et la véracité de la Kabbalah, elles n’ont juste pas convenues sur la façon de disséminer cette connaissance. Certains ont insisté que l’on ne devrait permettre qu’à un groupe très sélectif d’apprendre la Kabbalah, et seulement après avoir atteint un niveau élevé de pureté et de compréhension de tous les autres écrits. D’autres crurent plutôt, qu’elle devrait être plus accessible et enseignée à la plupart des juifs.

Pendant le 16ème siècle avec la venue de Shabbetai Tsevi[1]qui était appelé le « Messie Kabbalistique », la communauté juive fut divisée entre ses disciples et les « non-croyants ». Après s’être converti à l’Islam, ce faux Messie causa une grande déception et méfiance envers les enseignements de la Kabbalah. Les autorités rabbiniques d’alors devinrent encore plus sévères envers l’étude de la Kabbalah, et certains furent même persécutés pour l’étudier ou écrire sur le sujet.

[1]1626 – 1676

Sunday, 17 May 2020 / Published in Questions

Tel que dit plus haut, le mot Kabbalah vient du verbe Lekabel (recevoir), mais pour recevoir, il est d’abord nécessaire d’être préparé, et être un Keli (récipient) capable de recevoir et de contenir cette connaissance.

Un Kabbaliste est une personne qui est acceptée pour recevoir cette connaissance, et qui peut la retenir en vivant dans un chemin de rectitude et de Torah afin de se renforcer constamment.  Il est une personne spirituelle qui  donne la plus grande importance aux significations plus profonde des choses, et qui essaye continuellement d’avancer dans son étude. Pour lui, le but principal de cette existence est de se rapprocher au maximum de son Créateur et de le servir au meilleur de ses possibilités.

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